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Mois: août 2015
Green Street Art in Berlin…
Après la pluie…
Le ciel a pleuré sur cette parcelle du monde
Larmes scintillantes comme diamants liquides,
Que Géo assoiffée a bues d’un trait avide,
Puis laissé s’écouler en ses nappes profondes.
*
Le soleil, timide, perçant à petits rais,
Embrasse la terre dans sa douce chaleur,
Offrant ainsi aux sens un surplus de bonheur,
Magie de cette étreinte aux effluves sucrés.
*
L’Astre s’enhardissant, offre à sa bien-aimée,
Sa palette d’artiste, un très bel arc-quarelle,
Déployé tendrement au-dessus de sa belle.
*
Il est des jours ainsi, où l’éther s’émerveille,
Après tant de colère et de larmes versées,
Que s’écrive la paix en notes enchantées…
*
(Ceci est ma première tentative de sonnet, si j’ai bonne mémoire. Alors si mon sonnet cloche, n’hésitez pas à me sonner les cloches et me le signifier)
Les haricots verts de maître Chat…
Pour faire cuire des haricots verts frais, il faut… :
Sortir le sac contenant les haricots du lieu où vous l’aviez stocké, pas trop longtemps, hein, on a dit ‘frais’, les haricots.
Poser le sac sur la table ou le plan de travail, l’ouvrir en grand pour en faciliter l’accès.
Aller chercher un récipient propre pour y mettre les haricots au fur et à mesure de leur équeutage. J’ai choisi une vieille passoire, mais tout autre récipient fera l’affaire.
Sortir le chat du sac de haricots, en prendre une poignée, de haricots, pas de chat, et la mettre à l’extrémité opposée au chat pour qu’elle soit en sécurité.
Equeuter les haricots, vérifier s’ils ont des fils. Si oui, en faire une pelote pour distraire le chat. Si non, tenter le ‘lancer de haricot’ pour amuser la bête.
En cas d’échec, c’est assez fréquent, sortir à nouveau le chat du sac et recommencer l’opération avec les poignées de haricots, autant de fois que nécessaire pour vider le sac.
Epiler les haricots qui se seraient piqués de poils de chat, laver le tout, y compris l’animal, et faire cuire, mais sans le matou cette fois…
Voilà, c’est prêt !