Faire des rêves couleur Etretat…
Faire des rêves couleur Etretat…
Frotter n’a eu aucun effet, le génie n’est pas sorti.
Le thé, oui.
Il est des jours où il est bon se percher sur les hauteurs…
L’eau a ses heures où elle déploie ses ors…
Il marchait seul,
dans la petite rue,
et moi aussi.
Un lieu que j’affectionne
Pour ses lignes,
Ses dégradés,
Ses camaïeux
Selon l’heure, le jour, et la saison…
Quand on ne sait plus ce qu’on célèbre, ce que l’on fête et qu’on encense, les statues font la foire, et elle tourne, et elle tourne, la roue de l’Histoire…
(Paris 2018)
Sortie dès cette nuit dans toutes les bonnes salles (les chambres à coucher et les greniers aussi) et sur tous les écrans (ordi, téléphone, four etc)
Elle est arrivée sans crier gare, a trempé les trombines, remis de l’eau dans les canaux, obscurci le ciel le temps d’un café à l’abri… Elle ne rigole pas, la pluie, à Amsterdam…
Dis,
Vague,
Où vont ces hommes qui marchent ainsi sur ta crête ?
Dis,
Vague,
Savent-ils que l’horizon recule à mesure qu’ils avancent ?
Dis,
Vague…
Divagations….
L’air du temps nous a volé des couleurs, et pourtant….
La vie en rose et en hortensia…
Etretat, l’autre coté…
Quels que soient le temps, le sens du vent, la force des marées, Etretat offre toujours des couleurs douceur, et de belles épousailles entre le ciel et la mer…
Elle est comme ça, la ville où j’habite, elle se découvre sous des angles divers, d’hiver comme d’été, et toujours la lumière…
Dans cette atmosphère plombée, les papillons en toute légèreté…