Evidemment, le temps passant
les relations sociales s’estompent,
on garde des distances,
on se protège, dit-on,
et on protège l’autre,
les autres.
A-t-on cessé de vivre de peur de mourir ?
La solitude comme un miroir,
un moyen de savoir si l’on est de bonne compagnie,
au moins pour soi.
Moi, je m’en fiche, je ne suis jamais seule,
je vis avec des oiseaux…
Wonderful poem, Flo. You are right on about « We’ve stopped living for fear of dying. » I’ve come close to dying several times in my life. Therefore, I choose to keep living. And as you know, I have lots of bird friends. I love the photo.
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The closer you get to death, the dearer life is. And you have kept to the right side, Tim. I know you have bird friends, and I know they have a human friend (that gives them names ! You made me smile with that, because I do the same for my little visitors !). Thank you
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When I compained to my oncologist about the numbness in my toes and fingertips. She said « It’s better than the alternative! » I’m above ground, so I have no right to complain.
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I wouldn’t say so, complaining is sometimes useful to lighten the burden, but it is nice to get grateful for what we have, anyway.
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Bon jour Florence,
Heureusement qu’il nous reste encore la nature pour s’en approcher … mais peut-on vivre vraiment sans l’autre ?
Max-Louis
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Bonjour Max-Louis
L’Autre est choix, l’Autre est envie, désir, plaisir… Mais il ne peut être celui sans lequel on ne peut pas vivre, il ne peut être béquille, pilier, me semble-t-il. Parce que quoi, s’il part ? J’ai appris à apprécier ma propre compagnie, la solitude, le temps pour moi, et à en faire quelque chose… Pour mieux apprécier l’Autre, ainsi… :)
Bonne soirée,
Florence
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C’est bien :)
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