Je l’ai rencontrée sur le bitume d’un trottoir, à quelques centaines de mètres de chez moi. Je ne donnais pas cher de sa peau si je la laissais là. Alors je l’ai mise dans ma main pour lui trouver un peu de verdure plus propice à sa santé et à son épanouissement. Finalement, je l’ai ramenée ainsi jusqu’à chez moi et posée délicatement dans mon jardin, en espérant qu’elle y soit bien.
Le lendemain elle était là, et j’ai pu faire plein de photos. Comment je sais que c’était la même ? Notre court voyage en commun m’avait laissé le temps de voir combien la vie sur les trottoirs l’avait cabossée. J’ai retrouvé les mêmes marques sur sa carapace, là.

Coccinelle, demoiselle, bête à…
Ah… la bête à bon Dieu. C’est ma grand-mère qui disait ça… Hmmm.
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Oui, il y a cette appellation. J’ai lu son origine quelque part, il est question de grâce de condamné, si ma mémoire est bonne….
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Hmmm. J’ignorais. je vais jeter un oeuil.
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Bon jour,
J’ai l’impression qu’il y a moins, depuis quelques années, de coccinelles …
En tout cas elle a trouvé en toi une main secourable et un lieu pour se remettre en état … avant peut-être un nouvel envol … :)
Bonne journée.
Max-Louis
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Oui, j’espère aussi qu’elle est repartie ensuite, et qu’elle n’a pas fini ses jours dans mon jardin. Il est hospitalier mais un peu petit. Effectivement, on voit moins de coccinelles depuis quelques années, et j’essaie de les mettre à l’abri chaque fois que j’en vois là où ça n’est pas très accueillant pour elles… Coccinelles ou autres insectes d’ailleurs… Bonne journée !
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